L'univers du Social Dining prend un nouveau virage au niveau européen, avec l'annonce de l'acquisition de Cookening par VizEat, une plateforme de mise en relation entre particuliers facilitant l'organisation de diners chez l'habitant, lancée en février 2014. Une acquisition totale puisque VizEat s'empare de la marque, la base de données et aussi la technologie développée par Cookening. Le montant de l'opération n'a pas été communiqué.


VizEat, qui a levé 1 million d'euros en 2014 auprès du fonds anglais Eurovestech, vient d'accéder à une nouvelle étape dans le domaine du Social Dining, en annonçant l'acquisition de Cookening, une startup lancée en mai 2013 par Sébastien Guignot, Julien Pelletier et Cédric Giorgi. Ce dernier, s'occupant actuellement des relations startups pour le compte de Sigfox, garde une place en tant conseiller pour VizEat, en qualité de membre de son « advisory board ».

Le pionnier Cookening a sans doute échoué là où VizEat a réussi son pari, celui de clôturer une levée de fonds significative pour accélérer son développement. Le nouveau groupe ainsi constitué, rassemble une communauté en pleine expansion, dans plus de 50 pays, ce qui en fait le leader européen du secteur.

« Pour VizEat, et Cookening, la table est le premier réseau social, ce lieu unique qui favorise les rencontres et les échanges. Nous sommes très heureux d’accueillir la communauté Cookening qui va nous permettre de poursuivre notre croissance internationale. Ceci nous conforte dans notre position de leader européen du repas chez l’habitant », précise Jean-Michel Petit, Directeur Général et co-fondateur de VizEat.

Alors que l'activité opérationnelle de Cookening s'était arrêtée au début de l'année 2014, ses équipes étaient à la recherche du meilleur partenaire pour développer la communauté et continuer les efforts de communication autour du concept de Social Dining. VizEat, créé en 2014, par Camille Rumani et Jean-Michel Petit, a su répondre aux attentes et ambitions des fondateurs de Cookening.

"Quand nous avons réalisé début 2014 que nous ne pourrions pas faire appel à du financement extérieur, nous avons commencé à chercher le bon partenaire, en prenant le temps. Nous cherchions un partenaire qui partage nos valeurs, nos ambitions et surtout avec les moyens d'offrir le meilleur futur possible à la communauté", raconte Cédric Giorgi