Le salariat n’est plus une évidence pour les jeunes talents du numériques dont certains seraient "too good to be employed". Et pourtant, l’entreprise a encore beaucoup à leur apporter pour peu qu’elle soit capable de proposer un environnement de travail en phase avec leurs attentes. Mais si la tribu travaille pour la tribu, quid de la recherche de profit pour les actionnaires ? Quelle gouvernance mettre en place pour aligner leurs intérets avec ceux des salariés et des clients ?
D’un côté, on nous rapporte que plus de 90% des salariés français ne se sentent pas engagés dans leurs entreprises, que le CDI n’a plus rien du standard et que le chômage, eh bien , c’est comme l’acné sauf que ça passe pas… De l’autre, on observe l’augmentation rapide du nombre de freelances (40% de la population active américaine en 2020), l’essor de la pluri-activité et l’apparition d’organisations mutantes à rebours des vénérables certitudes sur lesquelles se sont bâtis les empires d’hier.
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