Qui sont les fondateurs ?
Édouard Fiess a étudié dans une école de commerce pendant quatre ans, où il a rencontré Benjamin Rousseau. Il a commencé à travailler dans une entreprise d’hébergement de nom de domaine, axée web/marketing online. Il a ensuite rejoint le siège de l’entreprise à Florence, où il a changé d’entreprise. Suite au projet Navily, il quitte son poste pour venir à Nice lancer l’entreprise. Edouard occupe aujourd’hui le poste de co-dirigeant, en supervisant principalement le développement et le marketing.
Après ses études en école de commerce, Benjamin Rousseau a rejoint un cabinet de conseil, spécialisé dans la réduction de coûts pour les entreprises, ce qui l’a amené dans le sud de la France. C’est finalement grâce à ce déménagement que l’installation de Navily à Nice a eu lieu. Benjamin occupe aujourd’hui le poste de co-dirigeant, en supervisant principalement les Sales.
Comment l’idée a-t-elle émergée ?
La naissance de l’idée à l’origine de Navily remonte à l’été 2013. Edouard Fiess et Benjamin Rousseau étaient en vacances le long de la Côte d’Azur sur le bateau familial. Ils ont passé sept jours à naviguer et quatre nuits à l’ancre. De ces quatre nuits, trois ont été compliquées avec des vents violents, la houle changeant de direction au milieu de la nuit. Dormir était très délicat. Une nuit, alors qu’ils étaient ancrés, la houle est devenue particulièrement forte. À trois heures du matin, Edouard s’est réveillé pour vérifier l’ancre et s’assurer que tout allait bien. Il a vu un bateau voisin, quelques mètres plus loin qui glissait dangereusement vers un autre bateau. Il a utilisé la corne de brume pour que les propriétaires se réveillent. Édouard a très probablement évité aux deux bateaux de potentiels dégâts considérables. D’ailleurs, tous les plaisanciers au mouillage dans la baie ont levé l’ancre, pour partir à la recherche d’un autre point d’ancrage.
Benjamin et Edouard ont réalisé qu’une application où tous les marins pourraient partager leurs expériences serait très profitable à la communauté des plaisanciers qui pourraient ainsi se prévenir des dangers locaux (conditions météo, eau peu profonde, fonds marins dangereux…). Le partage est au centre de l’usage de l’application.