Avec School Tech, Raphaël Touati n’en est pas à ses premiers pas dans le conseil digital. Depuis dix ans, il accompagne des entreprises dans le déploiement de leur stratégie. “À une époque, 80% de mes clients travaillant dans l’éducation et je me suis rendue compte qu’il y avait un véritable besoin de la part des établissements d’enseignement supérieur” confie l’entrepreneur qui décide alors de se spécialiser sur cette problématique.
En plus d’une activité de conseil en marketing digital, il développe le logiciel Miracle doté d’un ERP et d’un CRM qui permettent de simplifier la gestion des écoles supérieures en regroupant toutes les fonctionnalités en une seule plateforme. 

L’IA et le marketing automation pour mieux suivre le cursus des étudiants 

Miracle utilise l’intelligence artificielle, le marketing automation et l’expérience utilisateur pour apporter l’information la plus ciblée et la plus pertinente à ses utilisateurs.
Au niveau commercial, par exemple, “le logiciel agrège les données communiquées par l'étudiant et celles disponibles sur internet pour créer des profils les plus complets possibles” explique Raphaël Touati. Les algorithmes élaborés par School Tech analysent ensuite ces datas pour relancer les plus intéressés et choisir le meilleur canal de communication (téléphone, mail, sms…). 

Mais si les nouvelles technologies sont un élément central de Miracle, le facteur humain n’est pas oublié. “Nous avons co-développé la solution avec des établissement supérieurs et des experts du secteur pour comprendre et répondre aux besoins de nos clients” indique Raphaël Touati. L’entreprise continue d’ailleurs à faire appel à leurs connaissances pour améliorer son produit via sa cellule de recherches et développement. 

Faciliter l’accès à l’information et la prise de décision 

Grâce à cet outil, les administrateurs n'ont plus qu'à "valider les process et les opérations réalisés par le logiciel” sans avoir à récupérer et analyser eux-mêmes les données. En évitant ces étapes chronophages, les administrateurs gagnent un temps précieux. 

Autre atout présenté par Miracle, son caractère multi-campus qui permet de gérer plusieurs établissements sur une plateforme unique. Le logiciel peut s’adresser aux écoles supérieurs  de 30 000, 5 000, 2000 ou 200 étudiants. 

Il est également capable d’agréger d’autres solutions. “Si un établissement possède divers outils pour les RH, la paie et la gestion pédagogique, ils peuvent tous être affiliés sur notre plateforme” souligne le fondateur de l’agence digitale. Les utilisateurs bénéficient alors d’un seul outil pour piloter l’ensemble de leur établissement. Nous ne sommes pas la pour enlever les outils qui marchent mais pour avoir un outil unique pour éviter les pertes de données et optimiser les process.

Miracle profite également aux écoles de formation labellisés par l’Etat. Grâce à ses liens avec les OPCO, les opérateurs de compétences du Ministère du Travail, l’entreprise est informée des dernières réglementations et peut “mettre à jour ses logiciels quasiment en temps réel. Nous avons des solutions pour l’optimisation de la gestion des contrats de professionnalisation et contrats d’apprentissage " explique Raphaël Touati.

Un accompagnement du déploiement, du début à la fin 

Pour aider ses clients à bénéficier du potentiel total de son produit, School Tech désigne un chef de projet qui accompagne chaque école des premiers échanges à l’implantation effective du logiciel. “Excel est incroyable mais la plupart des gens n’utilisent pas la moitié de ses capacités. Nous ne voulons pas qu’il arrive la même chose avec Miracle” explique Raphaël Touati. Des séminaires de formation sont organisés en présentiel et des tutos papier et vidéo sont mis à disposition des futurs usagers.
Les établissements supérieurs n’échappent pas, non plus, à la difficile digitalisation de leur secteur. 

La technologie est déjà présente dans plusieurs grandes villes françaises comme Paris, Lyon, Lille, Bordeaux, Nice, Nantes, Toulouse, Marseille, Rennes, Aix-en-Provence, Montpellier, Clermont-Ferrand, Istres mais aussi à Londres… et espère bien convaincre d’autres établissements d’utiliser sa solution pour devenir le “leader du digital dans le secteur de l’éducation”. 

Maddyness partenaire média de School Tech