À la suite de la mondialisation mais aussi des précédentes révolutions industrielles et du paradigme fordiste de l’aménagement (péri)urbain, la ville a changé d’échelle et de nature, et l’urbain s’est généralisé à l’ensemble des territoires. A présent, la notion de ville interroge celle de ses limites, y compris épistémologiques et philosophiques. Entre étalement, verticalisation, virtualisation, métapolisation, mais également contraction voire abandon, l’urbain a-t-il pour vocation de croître indéfiniment ? Une catégorie universelle et ubiquiste a-t-elle encore du sens pour décrire le monde et ses réalités spatiales ?
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