Sans bac en poche, un jeune sur trois de moins de 30 ans est à la recherche d’un emploi. Les personnes immigrées hors de l’Union européenne sont deux fois plus au chômage que les Français nés en France. L’accès à l’emploi serait-il toujours plus discriminatoire ?
Depuis de nombreuses années, acteurs publics et privés tentent de réduire cette fracture : Pôle Emploi, l'Etat et ses services décentralisés, les collectivités territoriales, Emmaüs, la Croix Rouge, les entreprises d'insertion, les missions locales... et les entrepreneur·ses sociaux.
Tirelires d'Avenir agit en complémentarité de l'Etat en fournissant une aide financière inconditionnelle à des adultes trop jeunes pour toucher le RSA, BimBamJob met à disposition des travailleurs sociaux une application qui accompagne à l'insertion socioprofessionnelle, Each One répond aux besoins de recrutement d’entreprises de secteurs en tension en formant des personnes réfugiées…. Et ça marche ? Les entrepreneur·ses sociaux sont-ils légitimes sur les questions d’inclusion par l’emploi ?
Chez makesense, nous sommes persuadés que oui ! Mais pour en être sûr·es, nous avons mis au défi Aline Crépin, présidente de l’Institut Randstad, Federica Pavani, responsable de la philanthropie à la fondation Primonial, Frédérique Marquet, directrice adjointe du Développement Economique et de l’Emploi à Paris Est Marne & Bois, et Inès Seddiki, fondatrice de Ghett’Up de répondre à cette question.
Le 15 décembre, rendez-vous chez makesense pour une table-ronde qui mettra à l’honneur les collaborations entre les entrepreneur·ses et les acteurs publics et privés engagés pour l’emploi.
La participation est limitée et l’inscription obligatoire ! Toutes les infos par ici : https://bit.ly/2ZgOdWU
Cette table-ronde est organisée avec le soutien de la Direction Régionale de Pôle Emploi Île-de-France, partenaire de makesense depuis 2019.
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