Entre 2009 et 2013, l’email marketing visant à la fidélisation de la clientèle a augmenté de 26%. Un chiffre qui montre que l’email devient un canal de communication incontournable. Pour éviter que celui-ci ne se transforme en SPAM, Maddyness a dressé une liste de 4 conseils simple à suivre. Article rédigé en partenariat avec Mailkitchen, une solution d’envoi facile et gratuite de newsletters et emailings.


1- Un message respectueux

Lorsque vous envoyez un emailing, la première chose à respecter est la personne qui va recevoir ce message. En effet, il est nécessaire de ne pas faire passer votre marque comme utilisant des techniques de SPAM ou de marketing agressif. Etes-vous sûr(e) que vous avez l’accord de toutes les personnes présentes dans votre liste de destinataire ? S’est-il inscrit de son plein gré ou l’avez-vous « sauvagement » ajouté sans son accord ?

Pour éviter ce genre de malentendu, envoyez vos messages uniquement aux personnes qui l’ont voulu. Faites preuve aussi de pédagogie en indiquant en bas de votre message, la raison de leur inscription à cette liste. Une communication claire est souvent le meilleur moyen de ne pas se retrouver dans les situations litigieuses.

2- Un émetteur et un objet qui répondent à une promesse

Toujours dans un souci de transparence, l’émetteur doit être identifiable au premier coup d’œil. S’il s’agit du nom de votre entreprise ou de votre blog, capitalisez sur cette marque pour le rappeler à tous vos destinataires. L’objet du mail est aussi la raison pour laquelle les destinataires de votre newsletter ou emailing vont l’ouvrir.

Une promesse claire et sans artifice, incite plus au clic qu’un objet de mail comportant des mots racoleurs («gratuit», «argent»…) ne respectant pas le pacte de confiance établi entre les inscrits de votre liste et l’image de marque que vous dégagez.

3- La personnalisation, un peu mais pas trop

Chaque jour, les boites mail peuvent devenir un réel cauchemar pour certaines personnes et les emails travaillés et personnalisés auront plus de chance d’être lus, notamment pour les services qui offrent une prévisualisation. Si l’email commence par « Chère Julie » et non pas « Si vous ne voyez pas cet email, cliquez sur ce lien pour le voir sur votre navigateur », cela aura pour conséquence logique un taux d’ouverture plus fort.

Ne poussez pas la personnalisation à l’extrême, personne n’est dupe, tout le monde utilise ce genre d’outils. N’hésitez pas à passer plus de temps sur le contenu (avec de liens qui fonctionnent !) et le message à faire passer plutôt que la personnalisation.

4- Un format adapté à tous les types de messagerie et supports

Gmail, Outlook ! iPhone, Blackberry ! Tous vos destinataires ne possèdent pas le même type de messagerie et de smartphone. En utilisant un modèle (aussi appelé template) depuis votre outil, celui-ci sera automatiquement responsive, c’est-à-dire adapté à tous les types de boite de réception, quel que soit le terminal de réception (ordinateur, tablette ou smartphone). Les outils sont bien faits, profitez-en !

En surveillant vos statistiques, vous aurez alors une vision à 360° de l’impact de votre message : taux d’ouverture, taux de clics (et sur quel lien !), nombre de désabonnement (oui, le lien de désabonnement est obligatoire, celui-ci s’inscrit dans un « pacte de lecture ») ou encore nombre de Bounce. Ce dernier indicateur vous prévient des adresses mails erronées. Supprimez-les, autant garder une base de qualité !

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