Donner des BSPCE ou pas, telle est la question. Mais si la réponse est oui, toute une série d'autres interrogations surviennent : à quels employés les attribuer ? pour quel pourcentage de capital ? combien en accorder ? quelles clauses poser ? comment fixer le prix d'exercice ? Autant de questions dont les réponses sont à la fois cruciales pour la startup concernée mais peu évidentes à trouver pour les entrepreneurs qui y sont confrontés.

C'est pourquoi The Galion Project s'est attelé à la question. Dans son nouveau kit, rédigé par Jean-Baptiste Rudelle himself mais aussi Sacha Loiseau (Mauna Kea Technologies), Frédéric Potter (Netatmo) ainsi que les cabinets d'avocats Jones Day et CMS Franis Lefebvre Avocats, se trouvent l'ensemble des documents nécessaires à l'attribution de BSPCE : une note explicative de sept pages avec les réponses aux (nombreuses) questions-clés, un modèle de plan d'attribution des BSPCE, un modèle de lettre d'attribution de BSPCE et enfin un modèle de mini-pacte d'associés.

De nombreuses startups se sont laissées séduire par les BSPCE, de Malt à Papernest, devenus un véritable outil de fidélisation des employés dans un contexte de guerre des talents. Ils témoignent aussi d'une volonté des fondateurs d'associer leurs équipes au succès de l'entreprise et de valoriser collectivement leur travail. La valeur des BSPCE se situe donc bien au-delà des seules considérations financières.