Face aux défis climatiques et à la nécessité de renforcer la souveraineté industrielle, la France entre dans une nouvelle ère : celle d’une réindustrialisation basée sur une électricité bas carbone. Et pour réussir cette transformation, les industriels ont besoin d’un partenaire solide, capable de conjuguer performance énergétique, innovation et accompagnement durable. 

L’électricité, moteur d’une industrie française décarbonée

Réindustrialiser le pays, cela passe en effet par le fait de repenser la manière dont l’énergie alimente les usines, les infrastructures et les territoires.

Partout en France, EDF soutient ainsi les nouvelles implantations industrielles et les projets structurants. “Notre rôle n’est pas seulement de fournir de l’électricité, mais d’accompagner la transformation énergétique de nos clients, dès la conception de leurs sites, illustre un expert de l’entreprise. Beaucoup de fours à gaz peuvent par exemple être remplacés par des fours électriques. La pompe à chaleur permet de substituer les modes de chauffage ou de rafraîchissement actuellement fossiles dans le tertiaire et l’industrie”.

 “L’électricité est un vecteur essentiel de la décarbonation en France. Chaque fois qu’un client opte pour l’électricité plutôt que pour une énergie fossile, il contribue à la réduction des émissions de carbone”, souligne-t-il.

Des gigafactories aux data centers : accompagner les grands projets du territoire

Ces préoccupations touchent de nombreux secteurs, comme la mobilité, le bâtiment, le tertiaire, l’industrie, mais aussi les datacenters. Avec l’essor de l’intelligence artificielle et du cloud, la demande en la matière explose. Or ces infrastructures sont particulièrement consommatrices en énergie : elles nécessitent des approvisionnements fiables et décarbonés.

Nous travaillons aujourd’hui à l’implantation de data centers de nouvelle génération en France. Ce sont des projets à très forte puissance souscrite - jusqu’à un gigawattheure chacun - qui participent à la souveraineté numérique du pays”, détaille EDF. Un nouveau front qui illustre la convergence entre transition numérique et transition énergétique.

Un enjeu de souveraineté numérique

En 2024, la France a exporté près de 89 TWh d’électricité, preuve d’une production solide et d’une énergie disponible à des coûts compétitifs. L’électricité est une solution performante, compétitive et bas carbone, qui favorise à la fois la souveraineté énergétique et la compétitivité industrielle”, rappelle un porte-parole du groupe.

Cette ressource stable, produite majoritairement sans CO2, permet aux entreprises d’envisager sereinement leur développement dans un contexte international.

Accélérer la transition écologique

Mais pour EDF, la transition énergétique ne se résume pas à produire une électricité décarbonée : il s’agit d’accompagner ses clients dans la transformation de leurs usages.

Accélérer le développement des usages électriques, tout en accompagnant les clients dans l’efficacité énergétique, est un axe prioritaire du groupe EDF pour contribuer à atteindre la neutralité carbone”, explique un porte-parole.

Cet accompagnement s’appuie sur une expertise R&D unique, des solutions sur mesure et une présence de proximité. Qu’il s’agisse de mobilité électrique, d’efficacité énergétique dans les bâtiments ou d’électrification des procédés industriels, le groupe EDF agit comme partenaire de performance durable. L’objectif est clair : que “la transition énergétique ne soit pas une contrainte, mais une formidable opportunité de réindustrialiser la France et de redonner à nos territoires la fierté de produire, durablement”.